Les accidents de travail
Les accidents de travail arrivent vite et ne préviennent pas. Cependant, des éléments comme les chaussures de sécurité ou les casques de protection sont là pour vous préserver au maximum de ces dangers.
Aux termes de l’article L.411-1 du Code de la Sécurité sociale, « est considéré comme accident du travail, quelle qu’en soit la cause, l’accident survenu par le fait ou à l’occasion du travail à toute personne salariée ou travaillant à quelque titre ou en quelque lieu que ce soit, pour un ou plusieurs employeurs ou chefs d’entreprise ».
Les conditions pour qu’un accident de travail soit considéré comme tel
Tout d’abord, il doit s’agir d’un fait inhabituel ou inattendu qui a entrainé un préjudice instantané ou temporisé. Ensuite, cet accident doit advenir pendant ou à cause du travail effectué. Enfin, un lien doit être établi entre le préjudice (les lésions, les blessures etc..) et l’accident déclaré.
Tout accident survenant pendant et/ou sur le lieu de travail est présumé « accident du travail ».
Quelques chiffres impressionnants…
Comment prévenir les accidents du travail ?
Au fur et à mesure du temps, les professionnels de la sécurité du travail ont créé toutes sortes d’équipements pour protéger les travailleurs.
Ces équipements se présentent sous différentes formes. Gilets fluorescents (de haute visibilité), gants, lunettes de protections, vêtements divers (par exemple les vestes de cuisines), chaussures de sécurité, etc… Sont autant de moyens de se préserver et de se protéger d’un accident au travail.
Un équipement adéquat permet non seulement de protéger le salarié, mais également d’optimiser ses conditions de travail.
Les chaussures de sécurité professionnelles par exemple, permettent aux travailleurs d’éviter de glisser, de se perforer le pied avec des objets pointus, de se prémunir de la chute d’objets lourds, de se blesser avec des substances corrosives, etc…
Une chaussure de qualité, confortable, souple et adaptée aux sols (anti-glisse, antidérapante) vous permettra de travailler dans de bonnes conditions. Cela pour le bien du salarié et la rentabilité du patron.
De plus, l’attirail du salarié doit être complet et de qualité pour anticiper les risques. Cela permettra au travailleur d’assurer son intégrité physique. Pour l’employeur, les risques d’accident de travail seront diminués. Des normes sont donc adaptées à chaque modèle pour le confort et le bien-être de chaque travailleur.
Gérer un accident de travail : la démarche
Les obligations du salarié
Le salarié doit avertir son patron dans un délai maximum de 24h à partir du moment où l’accident est survenu. Il doit également consulter un médecin dans les plus brefs délais. Celui-ci établira un certificat médical qui fera un état des lieux de toute lésion ou symptôme en lien avec l’accident survenu au travail. Ce certificat doit être transmis à l’employeur dans les 48h après la consultation. Le médecin prescrira alors un arrêt de travail si nécessaire.
Les obligations de l’employeur
Vous devez rapidement transmettre une « feuille d’accident de travail » à votre salarié. Elle lui permettra de ne pas avancer les frais médicaux. De plus, il est impératif que vous déclariez l’accident auprès de la CPAM (Caisse Primaire d’Assurance Maladie) dans les 48h après avoir été informé de l’accident par votre salarié. Vous pouvez le faire un ligne ici. Vous devez transmettre une attestation de salaire à la CPAM. Elle lui servira de base de calcul des IJSS (Indemnités Journalières de Sécurité Sociale) en cas d’arrêt de travail.
L’obligation de la CPAM
Dans les 30 jours suivant la réception de la déclaration d’accident, la CPAM doit évaluer la nature professionnelle de l’accident. En cas d’absence de réponse de la part de la CPAM dans les 30 jours, l’accident sera implicitement reconnu.
Les jeunes et les accidents de travail
Les jeunes sont souvent plus vulnérables aux accidents du travail. En effet, étant généralement plus insouciants, ils se sentent peu concernés par les accidents ou maladies et en particuliers par rapport au travail. Cependant, le manque d’expérience ne leur permet pas de prévenir ou d’anticiper les risques liés à l’environnement du travail dans leur entreprise. Il faut donc être davantage vigilant.
Les accidents de la vie domestique
Ces accidents sont la première cause de mortalité accidentelle en France, toutes classes d’âges confondues. Les plus vulnérables sont les enfants et les personnes âgées, mais ce sont les seniors qui paient le plus lourd tribu en terme de gravité et de mortalité. De plus, dans le domaine de la prévention, ce qui est bien pour un enfant ne l’est pas forcément pour une personne âgée et fragile.
Intérieurs et extérieurs où les accidents surviennent le plus souvent
Les entreprises et les accidents du travail
Les accidents du travail et les maladies professionnelles coûtent relativement cher aux entreprises. D’après des études économiques réalisées en Europe, les maladies liées au travail coûtent l’équivalent de 3 % du PIB.
En France, le montant des prestations versées aux victimes d’accidents du travail et de maladies professionnelles était de 8,8 milliards d’euros en 2012. Cela représente environ 45 millions de journées de travail perdues !
C’est pourquoi Lisashoes est fier d’être recommandé par les médecins du travail pour la qualité de ses produits, qui vous aideront à éviter ce genre d’accidents.
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